Parce qu’il n’y a pas qu’une seule forme de poitrine et que le soutien-gorge est un élément incontournable du vestiaire féminin, Lolo apporte la solution du presque sur-mesure avec plus de 57 tailles confectionnées dans un atelier de corseterie lyonnais.
Lolo est née du besoin de ses deux fondatrices, Océane et Mélissa, de trouver enfin un soutien-gorge qui ne soit plus un engin de torture. Comme 42 % des femmes, elles ont des difficultés à trouver un modèle parfaitement adapté à leur morphologie. Et comme 78 % des femmes, elles ont un sentiment d’inconfort à le porter tout au long d’une journée. Une entrave qui fait autant mal au corps qu’à l’esprit. Comment vous sentir bien et belle si votre gêne perturbe votre silhouette ? Elles décident donc de se lancer dans l’aventure et de créer Lolo, la première marque de lingerie digitale, tout en développant un algorithme qui permet, en entrant vos mensurations, de déterminer avec précision l’une des 57 tailles qui va vous convenir.
Le soutien-gorge sur-mesure, 125 €. 
Le tutoriel vous guide pour prendre 6 mesures sur votre poitrine.
Le principe est simple, mais encore fallait-il trouver l’atelier de corseterie compétent pour travailler une dentelle réalisée avec des fils recyclés en provenance de France, d’Italie ou d’Espagne, tous certifiés Oeko-Tex. La cliente commence par sélectionner un modèle puis, à l’aide d’un tutoriel, on lui montre comment prendre les 6 mesures indispensables de sa poitrine. À l’aide de ces mesures, l’algorithme détermine la taille idéale. La confection peut alors démarrer. Elle n’est faite qu’à la commande pour éviter la surproduction et le gaspillage. Le soutien-gorge arrive chez vous 5 à 7 semaines plus tard dans un packaging recyclable avec des encres végétales. Lolo propose le même service pour ses culottes déclinées en 10 tailles.
Face à l’inconfort d’un soutien-gorge mal adapté, payer 125 € pour un modèle sur-mesure confectionné en France ne semble pas être un frein à l’achat. Ainsi, les pré-commandes lors du lancement de Lolo ont été une véritable réussite ! On peut aussi supposer – et espérer – que l’engouement actuel pour une mode made in France et plus responsable ne fera qu’accentuer ce succès.
