Kaldo, l’accessoire de plage nomade

Le Kaldo, c’est la réinterprétation du cale-dos traditionnel… l’esthétisme, le confort et le made in France en plus !

Lancée l’été dernier, Kaldo réinvente un objet culte des plages biarrotes des années 80, le cale-dos. On doit cette renaissance à Mélanie Marticorena, fondatrice de la marque et originaire de la cité du Pays-Basque. La plage a toujours été pour elle un lieu de rencontres, de partage et de souvenirs avec ces pliants que les Basques détournaient de leur fonction pour en faire des cale-dos et admirer les surfeurs, lire confortablement ou surveiller la baignade des enfants.

Après une carrière à l’international comme directrice commerciale, elle se lance l’an passé dans la conception et la fabrication de son Kaldo. Pour cela, elle travaille en circuits courts exclusivement avec des artisans locaux. Le pin maritime est sourcé dans Les Landes et façonné de telle manière que le Kaldo se replie pour qu’il tienne le moins de place possible durant le transport. Son poids léger, seulement 650 g, lui permet d’être glissé dans un simple tote bag (livré avec) ou un sac à dos. La toile amovible et lavable en machine à 30°C est doublée et molletonnée pour accentuer le confort.

Mélanie Marticorena a déjà réalisé plusieurs collaborations avec des entreprises locales bien connues des amateurs de made in France comme Tissage de Luz ou Artiga en sélectionnant des toiles faciles d’entretien, ne craignant ni le soleil ni l’eau. Pour sa première collection, la créatrice a souhaité mettre à l’honneur quelques villes et plages de la Côte Basque. C’est donc tout naturellement que vous pourrez vous offrir un Kaldo Guéthary, Côte des Basques ou Parlementia… On retrouve également des modèles réalisés avec un tissu wax en séries très limitées. Très faciles à personnalisées, les toiles peuvent être brodées et bon nombre de restaurants de plage, hôtels ou plages privées ont déjà été séduits par cet accessoire de confort.

Le montage du Kaldo ne prend que quelques secondes en emboitant les deux pièces principales et en fixant la toile au moyen de deux tourillons en pin. Une sangle en coton dotée d’une boucle métal permet de tendre la toile et de sécuriser le montage. Voilà, le Kaldo est prêt, il suffit alors de le poser sur le sable avec l’angle voulu et d’y appuyer le dos ou la tête selon les besoins.
Les deux pièces en pin des Landes ne sont pas traitées ni vernies et ne demandent pour seul entretien qu’un peu huile de lin en fin de saison pour leur refaire une beauté et accroître leur éclat et leur résistance naturelle dans le temps. Les Kaldo sont proposés en de nombreux motifs répartis dans plusieurs collections, tous au même prix de 95 €. Et si la toile ne va plus avec votre maillot de bains l’année suivante, pas de panique, il suffit de la changer pour environ 35 € prête à monter. Kaldo fait revivre un accessoire du passé fabriqué en circuit court et fait pour durer.

www.kaldo.fr

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