En pleine Semaine du Goût, c’est sans vergogne que l’on va parler de légumes appertisés, de plats cuisinés et de légumes surgelés, d’autant qu’il s’agit d’une marque française dont au moins 1 produit est présent dans 1 foyer sur 2 dans l’hexagone. En matière d’alimentation, d’aucy possède certainement le taux de notoriété le plus élevé avec 96 % des Français qui disent la connaître ou la consommer.
Depuis plus de 50 ans, d’aucy est fermement implantée en Bretagne où elle travaille en direct avec plus de 900 producteurs locaux de légumes et plus de 8 100 agriculteurs-coopérateurs répartis dans le reste de la France. Une implantation nationale qui lui permet de fournir plus de 85 % des légumes qui sont conditionnés, puis vendus en France. Plus de 4 200 salariés travaillent sur 30 sites de production pour 4 filières d’activité : Agriculture, Légumes, Œufs et enfin Seconde Transformation pour ce qui concerne les plats cuisinés. Voilà un portrait rapide auquel il faut rajouter un chiffre d’affaires d’environ 1,1 milliard d’euros pour l’année précédente.
Mais ce qui nous amène, aujourd’hui, en pleine Semaine du Goût, à parler de d’aucy, c’est son engagement dans ce que la marque appelle “sa démarche de transition écologique” et que l’on va traduire tout simplement par “vers le bio”. Une démarche entamée il y a déjà une dizaine d’années avec l’introduction de l’agro-écologie au sein de la coopérative agricole. Un terme qui désigne des pratiques plus respectueuses pour l’environnement tout en respectant les ressources naturelles. Des fermes pilotes testent des solutions alternatives en matière de biodiversité, de protection ou de nutrition des plantes. On parle là de l’usage ou non de pesticides et d’engrais. Une action qui se renforce depuis 2012 avec le lancement des premières gammes de produits bio cultivés en plein champ. Organisée en coopérative, la marque accompagne les agriculteurs pour aller vers le bio ou pour obtenir la certification HVE (Haute Valeur Environnementale).
Pour aller encore plus loin, d’aucy fait également appel aux consommateurs via sa plateforme daucycestvousaussi sur laquelle chacun peut choisir certains critères entrant dans la conception d’une nouvelle gamme de produits et même définir la part revenant aux cultivateurs pour les soutenir dans leur conversion au bio. Une manière de tisser une relation de confiance entre consommateurs et agriculteurs, à l’heure où ceux-ci sont montrés du doigt.
Alors, Semaine du Goût ou pas, tant qu’à manger des conserves, des plats cuisinés, des œufs ou des légumes surgelés, autant le faire avec une marque qui assure la plus grande transparence.