Depuis 1932, la mutuelle d’assurance MAE s’est forgé une solide réputation auprès des familles et des enseignants pour son rôle dans la protection de l’enfant.
Cette mutuelle d’assurance, entendez par là qu’elle n’a pas d’actionnaire et qu’elle appartient à ses adhérents, propose de nombreuses couvertures répondant aux besoins des familles tant pour la vie scolaire que pour la vie quotidienne et la protection des biens. En vérité, ce ne sont pas moins de cinq générations successives qui ont été protégées par la MAE depuis sa création en 1932. Toute l’histoire a débuté dans le Lot-et-Garonne sous l’impulsion d’enseignants soucieux de protéger les enfants dans le cadre scolaire. Aujourd’hui, ce sont plus de 2,5 millions de têtes blondes qui sont couvertes par cette mutuelle d’assurance, de la première rentrée au CP jusqu’aux études supérieures. Une couverture qui coûte entre 13 et 39 € par an sans franchise et, si beaucoup de parents se posent encore la question de savoir si elle est obligatoire, voici la réponse de Philippe Bénet, président de la MAE : “Nombreux sont les parents qui pensent que leur Responsabilité Civile couvre tout, mais dans les faits, il faut savoir que seuls les dommages provoqués par l’enfant sont couverts. En revanche, la RC ne couvre pas l’enfant lorsqu’il est la victime”.
Un point important souvent mésestimé qu’il faut pourtant prendre en compte dans une société moderne de plus en plus touchée par des faits divers violents occasionnant des dommages (sans tiers identifié) ou s’il se blesse seul. On le sait également, une assurance scolaire exceptionnelle est toujours proposée dans le cadre d’une activité facultative comme une sortie organisée par l’école ou le lycée. L’adhésion temporaire est alors incluse dans l’inscription à cette activité. Pour autant, rien ne couvre l’enfant dans sa vie extra-scolaire quotidienne. C’est cette couverture que propose la MAE depuis 1932.
Non au harcèlement
Forte de son intégration dans le milieu scolaire, la MAE s’est également solidement engagée depuis 2013 dans l’action “Non au harcèlement”, afin de mieux protéger ses adhérents contre ce fléau. Cela passe par de nombreuses actions auprès des enseignants pour leur fournir les outils pédagogiques d’actions et de préventions nécessaires pour la diffusion de ce message auprès des enfants.
La MAE garantit alors de nombreux points cruciaux pour répondre à toutes ces formes de harcèlement. Cela va de la prise en charge de la suppression des contenus malveillants liés à l’image des enfants sur internet avec sa société partenaire IMA jusqu’au soutien au déménagement lorsque la situation le nécessite. Le harcèlement préoccupe plus de 63 % des parents qui craignent que leur enfant en soit victime. Une récente étude Statista révèle que près de 30 % des collégiens ont subi au moins une forme de cyber violence durant l’année scolaire 2021-2022. Un mal difficile à constater car 1 parent sur 10 reconnaît ne pas savoir si leur enfant est concerné ou non (sondage Ipsos).
Dans le cadre de ses contrats, la MAE propose une couverture adaptée à ce fléau grandissant dont elle enregistre une augmentation 3 fois supérieure en 5 ans des déclarations liées au harcèlement sous toutes ses formes. C’est donc dans ce nouveau cadre scolaire et extra-scolaire que la MAE propose des solutions adaptées avec différentes protections apportées par ses contrats (bris de lunettes, soutien scolaire, accidents à deux-roues, à vélo ou à trottinette, vols ou racket et harcèlement). Prendre une assurance en ce sens n’est qu’une manière d’anticiper les nouveaux risques liés à l’addiction aux écrans.
